mardi 30 juin 2009

Fête Maçonnique de la Musique

Le Dimanche 21 juin 2009 était organisée par l’Institut Maçonnique de France, la Fête Maçonnique de la Musique. L'événement a eu lieu dans le temple Arthur Groussier au siège du Grand Orient de France.



Etaient au programme :

Benoit Riou, baryton, accompagné au piano par Olivier Miquel
Christian Gossart, clarinette et Betty Viaud, piano
Ann-Estelle Médouze et Gilles Nicolas:
Vladimir Soultanov, piano

(origine GO-TV, la Web-TV du Grand Orient de France)

2 commentaires:

zagreus a dit…

on regrette d'abord mozart avec les premières pièces chantées, ampoulées, pompeuses et creuses, et puis on regrette qu'ils jouent mozart quand enfin ils s'y mettent... un massacre! Autant les doigts du pianistes sont maladroits autant le chanteur est une véritable casserole sans âme. Chante faux (vraiment très faux) chante mal (vraiment très mal) et sans gout, sans art. La musique est un art opératif...

Thierry Boudignon a dit…

J'ai dumal à comprendre ce type de "commentaire"("signé" Zagreus, du 23 septembre 2009).
Quel est son but, sinon faire mal? Que cet internaute n'ait pas apprécié une musique qu'il juge"ampoulée, pompeuse et creuse", c'est son droit. Et pourtant, cette musique-qui se veut "ésotérique" au sens large-avait sa place dans une fête maçonnique de la musique. Car où la jouera-t-on si on ne le fait pas là ?
Quant à dire que Benoît Riou et Olivier Miquel-puisqu'ils ne sont pas nommés-se livrent à un "massacre", il est propable que cet internaute ne sz rend pas bien compte de ce que c'est qu'un massacre et que ce mot lui a échappé. J'ai écouté Benoît Riou, il n'a pas chanté"faux"ni"très mal" ni"sans goût"ni"sans art". Que l'internaute ne l'ait pas apprécié, c'est encore son droit. Mais faut-il pour cela se livrer à de tels jugements blessants et péromptoires ?
Rappelons que Benoît Riou a essuyé les plâtres de cette 1ére fête maçonnique de la musique: pas de programme distribué, pas d'applaudissements recommandés,bref des conditions difficiles et pourtant, il n'a rien laissé voir de ces obstacles. Au contraire, d'autres auditeurs et moi-même avons ressenti que Benoît Riou a pris de l'épaisseur artistique aussi bien dans la voix que dans son jeu. Il a chanté une pièce de musique"ésotérique" jouée au début du XXe siècle dans la salle de la société théosophique, puis du Mozard, Schubert,Fauré, Ralph Vaughams(extrait du cycle Le Vagabond) etc.et même une création, proposant un vrai concert, encore une fois approprié au lieu et à l'occasion.