Extraits d'une vidéo visible sur Baglis TV, et intitulée "Hiram et Freud".
Rencontre inattendue entre un franc-maçon, Jacques Fontaine, et une psychanalyste (non-initiée), Marie-Hélène Gonnin.
Qu’ont en commun un franc-maçon et un analysé ? Quelles correspondances pouvons-nous établir entre le rituel d’une tenue maçonnique et un passage sur le divan ?
Si pour Jacques Fontaine, le "Connais-toi toi-même" socratique représente le fil rouge entre psychanalyse et franc-maçonnerie, pour Marie-Hélène Gonnin, à l’instar d’un iceberg (10% émergé et 90% immergé) les franc-maçons ne se livrent qu’à un examen superficiel de conscience, celle de la partie émergée de chaque psyché. En effet, pour Marie-Hélène Gonnin, la règle maçonnique et sa codification morale correspondent aux "coups de bâton" qu’assène le Surmoi. Pour elle, les franc-maçons auscultent certes leur conscience, et c’est tout à leur honneur dans ces temps d’éparpillement généralisé, mais ils ne s’aventurent jamais dans la partie immergée de leur psyché : l’inconscient qui est pourtant la plus profonde.
Ainsi la sexualité, le refoulement et la notion même d’inconscient ne semblent pas trouver de correspondance dans les quelques quatre vingt-symboles sur lesquels tout franc-maçon travaille…
Est-ce lié au siècle et demi qui sépare l’avènement de la franc-maçonnerie de la psychanalyse ? "Autre époque, autre tendance" ? Ou bien la réalité ne se situerait-elle pas sur un autre plan, dans les mythes et allégories tels que le meurtre d’Hiram ? L’édification de son temple intérieur ?
Le rite maçonnique sur le divan
Le meurtre d'Hiram Abif
La place de l'inconscient dans la franc-maçonnerie
Le symbole en Franc-maçonnerie occulte-t-il le conflit ?
La loge maçonnique est-elle de type obsessionnel ?
Importance du "Surmoi" en Franc-maçonnerie
Marre des marronniers sur la franc-maçonnerie !
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